Peinture (aquarelle, acrylique, encres), bois tourné, déco récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauragais : St Martin Lalande 11400 Aude
l'article de Marie Rose Viala dans "Pages Lauragaises" du CLES (Centre Lauragais Etudes Scientifiques) nous dit : "Fin XVIIe aucune règle ne fixe l’âge de la scolarité, tant dans les collèges que dans les écoles et chez les maitres d’écriture ; les enfants intégraient l’enseignement selon le bon vouloir, les besoins ou les disponibilités des parents"
(Marie Rose Viala fut ma professeur d'histoire en classe de 6ème au collège Blaise d'Auriol de Castelnaudary)
1833 : la loi oblige les communes à entretenir les écoles primaires ( salaire de l'instituteur, logement....)
1834 : une ordonnance royale impose aux communes d'accepter lesenfants d'indigents gracieusement dans les écoles, on notera que l'école est payante à cette époque
1835 : le traitement de l'instituteur payé par la mairie est défini comme suit " rétribution mensuelle fixée à 6 céclaitres de blé pour la 1ere classe ou ceux qui écrivent ; 4 décalitres pour la 2eme classe pour ceux qui lisent, 2 décalitres pour la 3ème classe ou ceux qui commencent. Cette manière de payer en blé étant instituée depuis longtemps, le conseil municipal l'adopte à nouveau pour cette année. Fin 1835 : la rétribution mensuelle en blé pourrait être refusée si le blé n'est pas de belle qualité, il serait alors libre de se faire payer en argnet en prenant le taux du blé au marché de Castelanaudary"
1836 à 1872 : Guillaume AUDIRAC est instituteur (président du Secours Mutuel en 1864)
1866 : institutrice PAUL Marie
1872 : institutrice ESCUDIE Emilie
1876 : institutrice : COSTESEQUE Anna
1877 : grandes réparations à l'école des garçons
1878 : Monsieur Chamayou, Conseiller municipal désire faire une proposition : établir la gratuitéabsolue dans les deux écoles communales, elle sera votée en 1880 pour les deux écoles (la gratuité fera l'objet d'une loi en 1881)
1878 : abonnement à la publication "Le Journal des Instituteurs" qui sera ajouté à la bibliothèque scolaire
1879 : rétribution spéciale accordée à l'instituteur pour la direction d'un cours d'adulte, sinon instituteur et institutrice ont le même salaire de 800F (minimum légal), leur rémunération et payée en partie par la commune et en partie par les fonds du département et de l'Etat
1877 : un vaste local est construit et affecté à l'école des garçons et au logement de l'instituteur
1879 : des réparations à l'école des garçons
1878 : une maison est achetée, l'école des filles est créée
1880 : l'école des filles nécessite des travaux urgents, toiture et planchers, étayés depuis longtemps, menacent de s'effondrer, un des murs va bientôt s'écrouler. un terrain est acheté à Combelles Arnaud pour la somme de 1000F, l'institutrice est relogée chez Penavayre François, le loyer est de 10F. devis plan de l'école approuvé : 13400F (achat de terrain compris), un emprunt est contracté sur 6 ans, une aide est demandé à la caisse spéciale (instaurée par la loi du 13/07/1880)
1878 : la commune décide de s'abonner au "Journal des instituteurs" afin que les instituteurs aient accès à de la documentation
1880 : la gratuité absolue de l'école est votée
1881 : instituteur : SAURY Jacques, institutrice : FORGUES Augusta
1882 : 6000Frs sont accordés pour construction d'écolepar arrêté du ministère de l'éducation
1882 : une bibliothèque pédagogique est créée au chef lieu de canton pour les instituteurs , institutrices et toute personne s'occupant d'enseignement
loi du 28/03/1882 : une commission municipale scolaire est instituée dans chaque commune pour surveiller et encourager la fréquentation des écoles. l'instituteur fait partie de droit de la commission + 3 autres membre. une caisse est créée et a pour but de faciliter la fréquentation par la mise en place de récompenses sous forme de livres utiles et de livrets Caisse Epargne aux élèves les + appliqués, aide aux élèves les + démunis en leur donnant livres, fournitures, vêtements, chaussures et pendant l'hiver des aliments chauds.
1885 : la commission départementale attribue 100Frs à l'école
1885 : des cours pour adultes sont dispensés dans les écoles gratuitement
1885 : agrandissement des 2 fenêtres nord de l'école des garçons
1886 : institutrice : HAYET Rosalie, instituteur : SAURY Jacques Joseph
1887 : construction de l'école des filles
1888 : l'ancienne école des filles est mise en vente aux enchères publiques
1888 : les tables des écoles vermoulues et détériorées doivent être changées, remplacées par des tables bancs de 2 tailles différentes pour petits et grands
1888 : Mr Saury, instituteur, obtient la médaille de bronze comme récompense lors de la dernière exposition Internationale de Toulouse dans le cadre de l'Exposition Pyrénéenne, section de linguistique et toponymie des Pyrénées, en 1894 ce même instituteur obtient la médaille d'argent
1891 : institutrice : Rosalie HAYET, instituteur : Jacques Joseph SAURY
1894 : Mme Hayel institutrice, est mutée à Arques et remplacée par Mme Léonie Marty née Boyer
1895 : autorisation demandée au préfet d'instaurer des cours adultes filles et garçons ( ceux de 1885 étaient-t-ils réservés uniquement au garçons ?)
1900 : Cathala Henriette, institutrice
1902 : institution d'une caisse des écoles
1905 à 1920 : M Escaffre, libraire à Castelnaudary, est désigné par le conseil comme fournisseur scolaire (une somme de 500Fr est allouée chaque année à la commune pour ces fournitures)
1907 : suite à la Loi du 2/01/1097 sur la séparation de l’église et de l’Etat, la commune peut donc disposer à son gré de la maison presbytérale et de ses dépendances cet immeuble est contigu à l’école des garçons qui n’a ni WC, ni cour, ni préau ; une partie des dépendances situées au levant et la moitié du jardin seront donc prises sur le presbytère
1910
1919 : Verger Jean, charpentier à St Martin, effectue divers travaux menuiserie charpente à l'école des garçons
1920 : A partir de mars l’heure d’été doit être appliquée pour entrée et sorties de classe, considérant que certains élèves ont à parcourir 4 ou 5 km, la commune décide de maintenir l’ancienne heure
1922 : 6 jours ce congés scolaires sont réservés au grè des communes (arrêté ministériel du 17/07/22). St Martin Lalande fixe 4 jours à Noël pour faire le pont jusqu'au nouvel an, 2 jours au carnaval.
1923/1924 : fournitures scolaires achetées chez Escaffre, Castelnaudary
1926 : suite à l'achat d'un poste TSF (voir mon article dans archives, culture, St Martin Lalande); le poste sera mis à disposition de l'instituteur pour l'utiliser dans ses oeuvres post scolaires ou autres
1926 :Lettre du préfet concernant l’organisation d’une inspection médicale des écoles primaires afin de dépister au plus tôt des signes de maladie, la commune accepte de participer financièrement si les visites sont régulières tous les trimestres et effectuées par des docteurs
1928 : suite à la circulaire de Monsieur le Ministre de l'Instruction Publique, le préfet de l'Aude demande de procéder à l'estimation vénale des locaux scolaires ( école des garçons et logement de l'instituteur : 50 000 Francs, école des filles et logement de l'institutrice : 50 000 Francs). Chaque année, 1% de ces valeurs est inscrit dans le budget pour paiement de réparations reconnues nécessaires à leur entretien
1930 : réparation de la canalisation de la toiture de l'école des filles
1931 : le mobilier scolaire des 2 écoles est défectueux ; il existe une douzaine de tables et de bancs de modèles anciens (tables à 5 places et bancs sans dossier) dans un état de délabrement qui les rend presque inutilisables , même en essayant de les réparer. Ces bancs doivent être changés, comme il est nécessaire, en outre, d'opérer certaines réparations dans les salles de classe et de faire l'achat de poëles et de cartes géographiques. Les ressources de la comune ne le permettant pas, proposition de demande au Conseil Général de prendre en charge le remplacement des chaises et des bancs . La librairie Fernand Nathan, de Paris a effectué la livraison de 7 tables basses à 2 places et à dossier. coût : 1094 Francs
1933: vu la loi du 12/03/1933 et la circulaire ministérielle du 6/11 du Ministre de l'Education Nationale ; l'Inspecteur primaire de Castelnaudary demande l'avis sur la gémination (mixité) des deux écoles de la commune : "considérant que la gémination des écoles constituerait une innovation qui serait contraire aux habitudes de la population" le conseil donne un avis défavorable . ( voir plus bas : Il faudra attendre 1945 pour qu'elle soit mise en place)
1933 : nettoyage des cabinets des écoles par Ramon Pierre, maçon. Pour l'école des filles il a du ouvrir une partie du mur de son jardin. à sa demande, le conseil reconnait que cette façon d'opérer n'a été faite qu'à titre exceptionnel et qu'elle ne pourra constituer pour l'avenir une obligation de cette nature pour le propriétaire du jardin.
1933 : une concession d'eau est donnée gratuitement à l'école des filles et à l'école des garçons pour les appartements de l'instituteur et de l'institutrice, à condition que ces derniers prennent à leur charge les frais d'installation
1935 : Monsieur le Ministre de l'Education Nationale a choisi le département de l'Aude pour y faire des essais d'organisation de l'éducation physique dans les écoles primaires élémentaires. Les leçons et les jeux de plein air ne pourront être pratiqués d'une façon efficace et profitable pour les enfants que s'ils disposent de terrains et de matériel de jeux. Une lettre du Préfet insiste auprès des élus pour que ceux-ci facilitent et favorisent par leurs moyens, l'expérience, et accueillent favorablement les demandes faites par le personnel enseignant. Les maitres de la commune ont fait leur demande, la mairie décide de mettre à dispositions les terrains appartenant à la commune et d'acheter du matériel de gymnastique dont la liste sera dressée pour demande de subvention
1940 : gros supplément de travail pour les maires (allocations militaires, recensement de la population pour les cartes d'alimentation, installation des troupes de passage..... Le secretaire de mairie a augmenté ses heures de travail jusqu'à faire des heures de nuit, il a fallu faire appel à Mlle Boué, institutrice, pour que tous les travaux aient pu être fait. elle a travaillé pendant 10 mois. Le maire lui accorde une gratification de 1500 Francs
1941 :assurance des élèves des Ecoles Publiques auprès de la "Mutuelle Accidents Elèves"
1942 : on parle d'employées pour le balayage des classes : une pour l'école des filles, une pour l'école des garçons
1943 : Monsieur Adrien Rotelle, instituteur, demande de changer de logement suite au départ de l'institutrice à la retraite. Son logement actuel est trop petit (seulement 2 chambres pour 5 personnes), celui de l'institutrice étant désormais vaquant, on décide de transferer l'école des garçons à l'école des filles et vice versa
1943 - 1944 - 1945- 1946....: subventions à Pupilles dela Nation, Orphelinat de l'enseignement primaire, Pupilles de l'Ecole Publique, Mutuelle accident des élèves
1944 : réparations à effectuer suite à début d'incendie à la mairie école le 13/02/44. Guipaud Jules platrier à St Papoul et Boyer Joseph, charpentier à St Martin Lalande établissent un devis de 36 902.35 Francs. Ces réparations n'ont pu être faites faute de matériaux (raréfaction des matières premières dûe à la période de guerre), un an après le devis s'élève à 40 971.50 Francs. Fin 45, cette réparation n'a toujours pas été payée faute de fonds, un crédit sur 30 ans sera effectué auprès du Crédit Foncier
1945 : la mixité dans les écoles de St Martin est requise, "les instituteurs ayant 2 fois moins de cours obtiendront de meilleurs rendements". à Lasbordes, les classes sont déjà mixtes depuis longtemps. La mesure sera appliquée à la rentrée de octobre
1946 : on rembourse à Monsieur Sabatte la somme de 230Francs pour l'avance d'un goûter aux enfants des écoles
1948 : la femme de service assurant le balayage des classes a donné sa démission. On décide de ssupprimer ce poste ; ce sont les plus grands élèves qui seront chargés du balayage. L'école des petits (de Madame Sarda) et les locaux de la Mairie seront balayés par le garde champêtre
1948 : les projets scolaires devront être établis par des architectes agréés (communication du Ministre de l'Education Nationale)
1948 : Monsieur Rouby de Villepinte, a demandé de faire des cours de solfège aux enfants et jeunes gens pour la somme de 24 000Francs par an. "considérant que les enfants du village vont prendre des cours de solfège au dehors, il serait intéressant de former des musiciens dans levillage". demande retenue
1949 :les poëles des écoles sont hors d'usage. Monsieur Rotelle, instituteur, est chargé de rechercher 2 poëles en fonte
1950 : Madame Sarda, institutrice, demande que la salle à manger de son logement soir tapissée
1950 : Lasbordes envisage la construction d'une école pour cours post scolaires agricoles des élèves de Lasbordes, Villepinte et St Martin Lalande, avec participation financière des 3 communes. Le Conseil Municipal donne son accord moyennant que l'école soit en copropriété
1950 : la commune avertit Monsieur Rouby de Villepinte, professeur de musique, que l'année 1951 sera sa dernière année car la commune n'en voit pas l'opportunité de les conserver. On lui demande cependant d'établir un rapport d'activité ; les cours ne sont frequentés que par 1 à 3 élèves, en conséquence, ils seront annulés à partir de janvier 1952
1950 : rappel officiel à la commune : balayage des classes et allumage des poëles sont des dépenses obligatoires à la charge des communes. On lance un appel à candidatures pour l'emploi de balayeuse : 4 candidatures, c'est Mme Escargueil qui est nommée
1951 : restauration de l'école des garçons
1951 : lettre du Comité National de Défense de l'Ecole Laïque les informant de l'action menée par les adversaires et ennemis de l'école laïque. Le Conseil Municipal approuve à l'unanimité ces termes : " considérant que l'école laïque est l'école de la République et de la tolérance, qu'elle est l'oeuvre de grands républicains qui ont fait honneur à la France et au monde entier, qu'elle est la base de l'émancipation du peuple, qu'elle accepte tous les enfants sans discrémination d'idées, de croyance, de fortune, d'origine, que la valeur de son esnseignement est unanimement reconnue ; considérant que l'école dite libre n'est pas une école libre mais l'école d'une religion, que les parents ont toute liberté de faire donner à leurs enfants l'enseignemtn religieux de leur choix en dehors de l'école, que le but de l'école n'est pas d'enseigner une religion mais de dispenser l'instruction donnatn à l'individu le moyen de réfléchir, de comprendre, de critiquer librement et de s'affronter des tutells spirituelles quelles qu'elles soient pesant sur son libre arbitre et d'aboutir ainsi à la libération de l'individu ; considérant que si l'on subventionne les écoles dites libres on peut concevoir autant d'écoles à subventionner que de religions ; que si l'on subventionne les écoles dites libres, on pratique une politique de régression sociale en revenant aux temps pas si lointains (en encore en vigueur dans certaines régions de France) où l'on faisiat pression honteuse sur l'ouvrier en lui supprimant le travail s'il n'envoyait pas ses enfants à l'école confessionnelle et à l'église, alors que de tels moyens sont inadmissibles en République. Coonsidérant que les partisans de l'école libre emploient des moyens illégaux pour aboutir, comme la grève de l'impôt, de tells mesures généralisées conduisent à l'anarchie et à la ruine du Pays. Que ce que rzéclament les adversaires de l'Ecole laïque c'es le retour aux lois de Vichy ; qu'au lieu de la tolérance, la fraternité et la concorde on est conduit de cette façon à la division des Français et à une nouvelle chouannerie ; que l'on ranime dans le pays la discorde, la querelle et les passions ; que subventionner les écoles libres c'est porter atteinte au principe de laïcité, à la constitution de la République elle même. Le Conseil Municipal proteste énergiquement à l'unanimité contre l'octroi de subventions aux écoles privées" : réponse envoyée à Monsieur le Préfet.
1952 : réparation du robinet de la cour de l'école de Mme Sarda, et construction murette dans la cour (pour retenir le sol)
1952 : réparation école des garçons consolidée par 4 tirants de fer et rebouchage des lézardes au ciment
1953 : la préfecture accorde une subvention à la commune pour travaux à l'école de Monsieur Rotelle : amélioration des préaus, peinture des volets, réfection de la façade et peinture de la salle de classe
1954 : le poste de maitresse de couture est supprimé (Mme Rotelle Denise a démissionné)
1854 : on prévoit la construction de garage pour les 2 écoles
1954 : loi Barangé : le Président de la Caisse Départementale Scolaire a attribué à la commune la somme de 74 000 Francs
1954 : circulaire de déc 54 relative à la distribution de sucre et de lait aux enfants des écoles. Le conseil municipal considérant que seuls les enfants de 6 à 11 ans ouvrent droit à la subvention prévue, que les enfants de nos écoles ont entre 5 et 14 ans, qu'on ne peut faire de discrémination, que les enfants des écoles rurales ne sont pas privés de lait comme ceux des communes urbaines, Le conseil décide de ne pas organiser de distribution de lait ou de sucre dans les écoles de la commune
1954 : le conseil municipal est invité à assister à la fête de l'arbre de Noël des écoliers à la mairie
1955 : aménagement prévus au budget : préau à l'école des filles (le préau actuel n'abrite pas les enfants) ; WC dans les 2 écoles (les existants sont vétustes, anti hygiéniques, délabrés), garage aux 2 écoles, réfection du parquet à l'école des filles (le carrelage date de 1884 , est en mauvais état, dénivelé et attire la poussière)
2014 : l'école de l'est passe du domaine privé au domaine public afin que la commune puisse la vendre, un artisan boulanger est intéressé
2014 : projet acquisition jouets en bois pour garderie et périscolaire
2014 : mise à disposition de l'ancien copieur de la mairie qui a été remplacé
2014 : des activités périscolaires doivent être mises en place, projet de création d'un City Stade
2014 : les poux à l'école sont un problème récurent
2014 : peu d'élèves fréquentent la cantine durant les vacances scolaires ( de 0 à 4), la cantine sera donc supprimée durant les vacances de Toussaint, février et avril - en juillet beaucoup de demandes pour la garderie, la garderie sera donc ouverte en juillet (la garderie pendant les grandes vacances avait été supprimée depuis plusieurs années)
2014 : crochetage indispensable des tuiles du toit de l'école car elles glissent et entrainent des gouttières
2014 : sécurisation de la salle Guillaume qui sert au périscolaire avec la pose d'un portillon en haut des escaliers
2014 : sécurité à renforcer autour de l'école : barrière rue des jardinets, passages piétons
2014 : circulaire préfectorale annonçant la mise en place d'un planVigipirate
2015 : sortie ski à Camurac pour le cours élémentaire, la commune finance le transport
2015 : l'école demande que le matériel informatique soit remplacé et complété, que les pneus soient enlevés dans la cour, la création de toilettes filles et garçons, de repeindre les marelles au sol, de prévoir un système d'ouverture sécurisé des portes et portails de l'école,
2016 : l'activité théâtre est renouvelée en périscolaire ( mise en place en 2014), une activité initiation au tennis est mise en place
2016 : transfert de compétences création, gestion et entretien de crèches multi accueil à la communauté de communes de Castelnaudary
2016 : forte augmentation de l'effectif scolaire, (98 élèves), une 5ème classe est mise en place, projet de création classe unique pour les 2-3 ans sur la commune de Lasbordes
2016 : essai d'introduction de légumes et fruits locaux à la cantine scolaire
2015 : l'école de l'est est vendue à un artisan boulanger
2018 : Les travaux derénovation de la classe maternelle ont été faits, placage des murs, abaissement de plafond, assainissement bibliothèque, une climatisation réversible posée (c’était la seule classe qui n’en était pas dotée) - difficultés pour mise en place du périscolaire - l'école demande des jeux à tracer au sol ou sur les murs - on revient à la semaine de 4 jours - projet de ravalement de façades côté rue et côté cour- téléphones portables et consoles de jeux sont interdits - demande d'assistante de vie aux institutions restée sans réponse -
2020 : plan Vigipirate, la rue de l'école est fermée
2020 : pose de 2 lavabos cours d'école
2022 : plaque commémorative, l'école de l'an 2000 devient école Paul Guilhem (ancien maire) (projet lançé en 2020)
quelques années en arrière, et me voici sur les photos de classe si vous souhaitez une photo de classe de St Martin Lalande demandez moi, j'ai les années : 1936-1938, 1960, 1963, 1966, 1967, 196...
c'est en faisant mon article sur les archives des écoles que j'ai repensé à mes écoles primaires à St Martin Lalande voici donc quelques souvenirs Nous avions alors 2 écoles, celle des petits...
Super intéressant ton relevé. J'ai remarqué que le salaire des institutrices était le même que celui de leurs homologues masculins en 1879 ... Ça fait réfléchir à la situation actuelle des femmes à ce sujet.
peinture (aquarelle, acrylique, encres....), bois tourné, déco, récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauraqais : Saint Martin Lalande -
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