Peinture (aquarelle, acrylique, encres), bois tourné, déco récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauragais : St Martin Lalande 11400 Aude
Aujourd'hui débute une série d'articles que j'aurais pu intituler "au fil du temps"
Certes, une énumération peut paraitre rébarbative, mais je suis sûre qu'elle suscitera l'intérêt des St Martinois et des natifs de St Martin Lalande
ces articles ne sont pas "figés" et seront mis à jour au fur et à mesure de mes découvertes
n'hésitez pas à me faire part de vos trouvailles
1834 : réparation du pont de la Gajeannepar Raymond Malrieu, maçon à Lasbordes, car le "pont menace de s'écrouler". pour la somme de 415.60 Fr,Lasbordes participe pour 1/4 aux réparations pour la partie située sur son territoire
1834 :recreusement du Fresquel
1835 : les chemins vicinaux sont impraticables, même en été. pour extraire les récoltes on est forcé de passer par les champs qui longent ces chemins, ce qui entraine brouilles et procès. La mairie propose de prendre en charge certains passages comme communaux
1835 : réparation du pont de la Gajeanne , situé au chemin de la Lauragaise sur le ruisseau de Bassens, - devis établi par Raymond Malrieu, maçon à Lasbordes : 415.60 F. La commune de Lasbordes prend à sa charge 1/4 des dépenses pour la partie se trouvant sur son territoire
1836 : recreusement du Fresquel,(à noter que chaque année une dotation est notée dans les budgets pour entretien des ruisseaux) . Les débordements des ruisseaux sont plus conséquents : Fresquel et Treboul emportent les récoltes, une commission est désignée pour vérifier si la largeur des ruisseaux est bien conforme, quitte à l'augmenter si besoin
1877 : l'enlèvement des pavés dans la rue principale est demandé car la rue est ravinée en plusieurs endroits mais les grandes réparations à l'école des garçons absorbent tout le budget
1878: l'enlèvement des pavésdans les rues est demandé par les habitants du village suite aux intempéries ayant occasionné des glissements dans les rues, " ravinées en plusieurs endroits, unnouveau parage est nécessaire". Mais plusieurs opinions sont émises : les uns demandent l'enlèvement des pavés dans le milieu en conservant deux ruisseaux pour l'écoulemeent des eaux, d'autres vont jusqu'à proposer d'adoucir la côte au moyen d'un terrassement "considérant que l'adoucissement de la côte au moyen d'un terrassement permettrait aux habitants d'arriver aucentre du village avec leurs charrettes, sans être obligés de faire le long circuit qu'ils sont tenus de faire actuellement" l'enlèvement des pavés est voté ainsi que des travaux de terrassement pour réduire la pente , "ces travaux facilitent l'arrivée des charrettes directement au centre du village sans faire de détours"
1878 : l'entretien des chemins vicinaux par des graviers provenant du Fresquel doit être revu, le Fresquel ne produit plus assez, une parcelle sera achetée à un habitant pour y remédier (Monsieur Falcou de St Martin Lalande)
1885 : la commission départementale approuve le projet de classement comme vicinal ordinaire du chemin rural dit de St Papoul à St Martin Lalande
1887 construction d’un cassis pavé au passage du Fresquel sur le chemin vicinal à Las Brughes, qui fera disparaitre l’entassement des boues dans le passage de la rivière
1891 : éclairage public
1893 : la mairie achète la parcelle n° 169A à M Penavayre François ce qui permettra le dégagement de la rue voisine après démolition, cette rue sur une longueur de 45m est large de 2.70m et ne permet pas aux habitant d'acheminer leur récolte. la mairie ne peut acheter d'un coup les 7 à 8 maisons qui permettraient cetagrandissement de rueet se propose de les acheter au fur et à mesure
1895 :l'agrandissement de rue se poursuit avec l'achat de 2 maison supplémentaires (174-175 et 168) appartenant à Mme Marianne Esquirol veuve Guilhem
1896 : on achète une nouvelle maison (173) à Claret Elisabeth et Jean pour poursuivre l'agrandissement de rue
1897 : pose d'une passerelle sur le Fresquelau lieu dit "Pont coupé"
1900:Les chemins du moulin de Guilhemat à Cadalenc et de Dreuilhe à la Fount del Prat sont devenus difficilement praticables suite aux éboulements, sont reconnus chemins ruraux car essentiels à la vie rurale, en conséquence longueur, largeur et limites vont être fixées
1900: Classement en chemins ruraux des chemins de la Ginestelle ( allant du sol communal à la route nationale), de la Bordette (jusqu’à la nationale),
1901 : on poursuit l’élargissement d’une rue par l’acquisition de la maison de Mme Cenet Paule épouse Sabatte Jean Paul (n°176A)
1901 : projet d'élargissement du pont du Fresquel
1901 : achat d'une maison à Apollonie Cenet épouse Jean Paul Sabatte (A176) pour poursuivre le projet agrandissement de rue
1903 : le pavage des ruesest à refaire à plusieurs endroits, l'entretien des promenades publiques a été un peu délaissé
1904 : le projet d'élargissement du pont du Fresquel est toujours d'actualité
1905 : les riverains propriétaires de métairies voisines du canal du midi aux environs de La Peyruque ont toujours utilisé les chemins de halagede l'écluse de La Peyruque à l'écluse de Guerre. cet accès est désormais refusé par le propriétaire du canal : l'Etat. Or, les autres accès sont difficiles et impraticables en hiver ; la commune intervient auprès de l'Etat arguant que les propriétaires des terres sont prêts à dédommager pour dégradations causées
1906 : élargissement et redressement du pont du Fresquel jugé dangereux, plusieurs accidents sont survenus
1907 : achat d'une parcelle à M. Fournol pour servir à extraire le gravier nécessaire à l'entretien des chemins de la commune (21.91hect pour 150F)
1908 : le projet d'élargissement du pont du Fresquelest toujours en instance et devient urgent
1913 : on émet le vœu que l’administration supérieure procède au curetage et élargissement du ruisseaule Treboulavec curage à vif au lieu dit Pigassel sous les voutes du Canal du Midi afin d’éviter les dégats énormes causés par les débordements
1913 : Le conseil émet le vœu que l’administration du canal du midi s’abstienne de déverser les eaux de St Ferreol dans le Fresquel et le Treboul afin d’éviter les inondations qui causent des dégats énormes et que ces eaux soit déversées directement dans la rigole et le Canal du Midi
1920 : Arreté du préfet de l’aude pour le nettoyage du lit et des berges du Treboul, Ramon Paul et Brunel Barthelemy, riverains, sont désignés avec 2 conseillers pour superviser les travaux
1921 : nettoyage du lit et des berges du Fresquel et du Treboul
1922 : création d’une commission pour surveillance des travaux nettoyage lit et berges du Fresquel et du Treboul
1923 : autorisation donnée à Ramon Paul, propriétaire à Mondésir, de déplacer 2 cheminscommunauxdans la partie englobée de ses terres (chemin de la Peyruque au Gué du Tréboul et chemin de la Mandree des cheminières vers l'écluse de Guerre). Même autorisation donnée à Vielmas Louis pour chemin de l'écluse de Guerre au Gué du Tréboul. conditions : chemins de 4 m de large minimum et les arbres de ces chemins deviendront propriété de la commune
1924 : Etablissement d’une Taxe vicinale (en remplacement des journées de prestation) qui permettra d’être plus équitable
1930 : restauratin du lavoir de la mare et de la grille d'égout de l'auge de l'église
1931 :étant donné le ²provoqué par les pluies persistantes de la fin de l'automne ; il a été nécessaire de faire des réparations urgentes. les ingénieurs du Service Vicinal ont établi un décompte de 4554 Francs. Une subvention de 6000 Francs a été allouée
1932: loi du 16/04/1930 éligible à partir du 01/01/1932 : l'intégralité de la taxe vicinale est désormais laissée aux ommunes. Elle pourra être affectée aux chemins vicinaux, aux chemins ruraux ou à la voierie urbaine
1937 : le village a grand besoin de ruisseaux en ciment qui faciliteraient l'évacuation des eaux sales et des eaux de pluie, les économies réalisées sur le budget financeront les travaux
1945 : la commune confie la gestion de la voierie rurale et urbaine au service des Ponts et Chaussées
1946 : Monsieur le maire expose qu'il faudra payer les travaux effectués par les allemands et que sans doute, si les taxes vicinales sont executées en nature (jours de prestaion, la commune ne disposera de pas assez de fonds. Considérant que les dépenses engagées seront importantes la commune décide de faire effectuer les 1/3 des taxes en nature et les 2/3 en argent. En 1948, les 3 journées de prestation seront supprimées et remplacées par une taxe vicinale
1947 : projet de travaux de viabilité : les rues du village sont en mauvais état. Monsieur Mazet, architecte à Castelnaudary, a établi un projet de viabilité s'élevant à 1 234 000 Francs. un emprunt de 1 300 000 Francs est contracté auprès du Crédit Foncier (sur 10 ans)
fin 1947 : recharge du chemin élargi allant de la mare à la RN113 ; recharge de la rue allant de la place de la mairie au cimetière ; élargissement du chemin allant de la Bourdette à la Font del Prat (pour cet élargissement il sera d'abord fait appel aux prestations des riverains et ensuite à ceux qui voudraient travailler à la journée)
1948 : curetage et faucardement du Fresquel. Malgré plusieurs délais accordés aux riverains du Fresquel pour le curage et le faucardement de cette rivière, plusieurs propriétaires se sont plaints que les délais impartis étaient trop courts. Aprè-s avis de Monsieur l'ingénieur des Ponts et Chaussées, la date du 30/09/48 est décidée comme limite des travaux
faucardement : fauchage des végétaux aquatiques avec un faucard ou une faucardeuse, sorte de faux munie d'un long manche ou système de faux articulées
1948 : élagage et faucardement du Tréboul. un chemin communal borde le Tréboul, la commune doit procéder à l'élagage et au faucardement du ruisseau sur toute la distance ou elle est riveriane. Monsieur Milhau Baptiste, cantonnier des Ponts et Chaussées, demeurant au Pont de Madame, a demandé de le faire en partie contre le bois qu'il pourrait y obtenir : accordé
1948 : la route communale allant de la mare à la RN 113 a été élargie mais doit être rechargée et goudronnée. la commune emprunte 662 000 Francs sur 15 ans au Crédit Foncier ; les rues du village doivent être rechargées dès que possilbe, dès que les travaux d'hygiène et d'assainissement seront faits.
1949 : vu l'importance du trafic sur le chemin nouvellement élargi, il faut procéder d'urgence à la construction de caniveaux bétonnés munis de bordures et trottoirs de garde roues : devis de Guiraud Carcassonne approuvé pour 259 762 Francs
1948 : M Molinier, propriétaire du Cavaignal, demande la déviation du chemin rural allant de StMartin à Lasbordes et qui passe actuellement entre sa maison d'habitation et ses hangars, et de le faire passer derrière les hangars, il prendrait les travaux de déviation à sa charge : avis favorable
1949 : on demande au garde et au contonnier de couper du bois autour du cimetière et dans l'allée du village conduisant au cimetière
1950 : réparation des affaissements qui se sont produits dans les rues goudronnées - rechergement sur l'ancien chemin de Castelanduary -
1950 : aucune rue ou place du village ne porte de nom ; on propose le nom de place Leon Blum à donner à la place dite de la mairie pour "honorer la mémoire du grand tribun socialiste, éminant philosophe, résistant, prisonnier dans les camps de déportation, idéaliste humanitaire défenseur du peuple", l'inauguration de la plaque aura lieu en même temps que la fête du 14 juillet
1950 : des particuliers souhaitent acheter la vieille passerelle échouée le long de la calade du Fort ; en fonction des propositions reçues, la passerelle va au plus offrant : M Lamarque
1950 : passerelle sur le Tréboul (face à la Bourdette de Belz), le maire de la commune de Pexiora demande à notre commune de participer : ok
1950 : le Préfet de l'Aude signale qu'il appartient peut être à certaines communes de procéder au classement de la voierie vicinale de certains chemins vicinaux, qui, en raison de leurs caractéritiques, mériteraient d'y figurer. "Considérant que le chemin reliant le village, de la mare à la RN113 sert à la circulation générale et est plus important que les chemins ruraux, qu'il est enbon état, rechargé et bitumé", la mairie demande son classement dans la voierie vicinale
1951 : on demande à l'administration des Ponts et Chaussées qu'elle commence les travaux d'élargissement du pont du moulin avant mai, début des grands travaux agricoles
1951 : réclamation de M d'Herbès pour faucardement et abatage d'arbres sur le Fresquel sans son avis. La lettre est transmise aux Ponts et Chaussées
1951 : prévisions au budget : comblement de la mare devant l'église, aménagement du jardin sur la mare et des espaces compris entre les contreforts de l'église, construction d'une murette ornementale sur la place face au porche de la rue du Paty (place dite du forgeron)
1951 : projet de plantation d'arbres sur le bord du chemin Est, reliant le village à la RN113 : refusé par le Conseil Municipal
1951 : un enquêteur public est désigné pour travaux de rectification du chemin départemental du Pont de Guerre à Escourrou
1951 : le conseil décide de combler la mare actuelle
1952 : construction de la murette ornementale devant la maison Hugonnet
1952 : construction d'un caniveau sur le chemin de "derrière la ville" pour permettre le passage de plein pied à la hauteur de la maison de M Contier
1952 : la ruelle entre les maisons Barrière Laurence et Gleyzes Etienne (sur la place de la mairie) est fermée par" une porte délabrée et malpropre, nuisant à l'aspect convenable de laplace" . Le conseil municipal décide de refaire cette porte et de la monter sur cloison de brique
1952 : garde et cantonnier sont chargés d'élaguer les arbres et abattre les platanes en bordure de l'ancienne mare .Le nivellement des terres apportées dans la mare sera effectué par le cantonnier et le garde qui démoliront le petit mur de clôture de celle-ci et feront tomber les décombres au fond, en y transportant les terres accumulées le long de la route à Co de Rouan, avec l'aide des prestataires
1952 : Cazanave et Hugonnet ne sont disposés à dépenser que 5000 Francs chacun pour le murjardins Maison du Peuple, sous condition que la mairie se charge de replacer le grillage de clôture latérale. Pour la mairie, l'offre est dérisoire et décide de faire le mur sans participation des propriétaires
1952 : dégâts importants sur les chemins ruraux de la commune suite à inondations et intempéries de février, une subvention est demandée au Ministre de l'Agriculture
1953 : es ordures envahissent le chemin conduisant au jardin de M Sieurac et même le jardin. On pose un fil de fer barbelé interdisant le passage dans ce chemin et le dépôt d'ordures, ainsi qu'au jardin de Coussens "derrière les hortes". Publication de défense faite de dépôts à ces endroits ; l'enlèvement des ordures sera fait, le garde champêtre est chargé de surveiller et de donner un avertissement pour la 1ere fois et un PV par la suite
1953 : on demande à Jean Guilhem et Baptiste Coussens de refaire le mur de soutenement au lieu dit la Demoiselle sur le chemin de la Brougues
1953 : M Millès, Castelnaudary, est chargé d'élaguer les arbres dans le village
1954 : M Millès, est chargé d'élaguer le grand platane à côté de la fontaine, place du forgeron. Le bois sera vendu 1100F le m3 ; la municipalité garde les fagots, les autres arbres ne seront pas élagués
1954 : adhésion au Syndicat intercommunal en formation dans la subdivision des Ponts et Chaussées de Castelanduary Sud, en vue des travaux de grosses réparations d'amélioration ainsi que l'exécution d'entretien des chaussées revêtues et pour l'exécution des travaux de cylindrage des chaussées non revêtues. Ne pourront être subventionnés que les chemins ruraux reconnus, tous ne le sont pas, le conseil demande leur classement en chemins ruraux. La liste de ces chemins sera envoyée en 1955 (31 chemins sont listés)
1954 : M Raynaud André de la Fount del Prat demande l'agrandissement du chemin allant de son exploitation à la vieille route de Castelnaudary et éventuellement à la RN 113, au mooyen de buldozers qu'il se charge lui même de recruter et de conduire. il demande que la valeur du travail accompli soit prise en charge par la commune au moyen des prestations ; les riverains cèderaient leur terrain. Le Conseil donne son accord de principe, à charge que M Raynaud intervienne auprès des riverains. La mairie ne s'engage à payer aucune somme quelle qu'elle soit et calculera les travaux terminés, combien d'années de prestations en nature de la taxe vicinale, M Raynaud pourrait être décompté
1954 : rechargement et goudronnage de l'ancienne route de Castelnaudary : on demande à l'ingénieur des Ponts et Chaussées d'effectuer 1/3 des travaux chaque année
1954 : un caniveau sera fait sur le chemin "derrière les hortes" poour prendre les eaux du lavoir de la maison Petitpé et les eaux de pluie, afin que la remise de Molinier Etienne ne soit plus envahie par ces eaux. Le caniveau sera fait le long des bâtiments
1955 : le maire demande le classement en chemin départemental du chemin allant du coin de l'église à la RN113 "considérant que le chemin est élargi, rechargé et goudronné et qu'il n'y a aucun chemin départemental qui aboutisse dans le village"
1955 : devis demandé à Coussens pour caniveau de larue "derrière les hortes"
2014 : réfection de la voierie centrale entrainant la construction d'un parking salle des fêtes
2014 : le chemin de Bassens est transféré dans le domaine communal (autrefois incorporé dans l'association foncière de remembrement)
2014 : aménagement d'un espace pour dépot caissettes jaunes à Co d'En Sabatte
2016 :éclairage publicroute de Lasbordes
2015 : fin des travaux d'aménagement cœur du village commencés en 2014 (grand rue, trottoirs...)
2016 : les ralentisseursfont leur apparition sur les routes communales aux abords du village
2016 : élargissement au croisement rue de l'Amourouse
2016 : suite à la loi de 2005 et décret de 2006 pour l'accessibilité de la voierie aux personnes à mobilité réduite : la commune approuve le plan d'accessibilité proposé
2016 : la société LOTIR PLUS souhaitee rétrocéder voierie, réseaux annexes du lotissementPaulRiquet à la mairie pour la somme de 1€ symbolique, la commune accepte le transfert dans le domaine public
2016 : groupement de commandes de plusieurs communes pour la réfection de chaussées ettrottoirs
2016 : problème de sécurité sur l'ancienne 113 pour les enfants lors des trajets école- maison ou bus- maison, necessité d'aménager les abords de la RD116 jouxtant lotissement communal et station de relevage afin de sécuriser l'accès
2017 : le petit chemin jouxtant le City Stade est détérioré, le revêtement de l'ancienne 113 se dégrade, rue des Pyrénées, la zone piétonne en terre battue doit être améliorée, le chemin du soleil reliant la 113 à la route de Pexiora et passant devant Les Cheminières nécessite un entretien urgent, les travaux rue des figuiers sont indispensables car le talus menace de s'effondrer
2018 : rue des vents, chemin de Bassens et chemin de Cadalenc ont besoin d'entretien et nécessitent une demande de subvention, aux vues des nombreuses communes sinistrées de l'Aude liées aux inondations et aux fortes pluies, les subventions ne seront pas demandées par solidarité au profit des communes sinistrées
2018 : projet de mise aux normes ancienne 113 : ralentisseurs, signalétique....
2018 : équipement pour évacuation eaux de pluie et revêtement du parking hangar communal
2018 : suite aux dernières pluies, l'évacuation du pluvial doit être améliorée à 3 endroits : lotissement Fontuile (mon papa m'a toujours dit que c'était de tous temps une zone marécageuse par temps de pluie et ce bien avant la construction du lotissement), ancienne 113 et Pont de Guilhemat
2019 : apparition des premiers passages piétons
2020 : création d'un trottoir"cheminement doux "dudu village au lotissement Fontuile et éclairage
2021 : bouchage des trous chemin de la Fount del Prat
2021 : projet de réfection ancienne 113
2021 : remise en état des bas côtés rue des 13 vents
2022 : inauguration officielle du "cheminement doux" (trottoir) rue de la Garance
autrefois entouré d'enceintes et de fossés, le village de forme ovale n'était accessible que par la porte Sud, encore visible aujourd'hui et que nous appelons le porche au dessus, se trouvait la...
écluse de Guerre Canal du midi - St Martin Lalande - à St Martin Lalande en 1881 : "les habitants sont embarrassés pour laver leur linge, surtout en temps de pluie lorsque les petits cours d'au ...
Depuis une trentaine d'années, soit depuis la construction du premier lotissement en bordure de Nationale, les habitants demandaient plus de sécurité rue de la Garance, notamment élèves et par...
peinture (aquarelle, acrylique, encres....), bois tourné, déco, récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauraqais : Saint Martin Lalande -
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