Peinture (aquarelle, acrylique, encres), bois tourné, déco récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauragais : St Martin Lalande 11400 Aude
1834 : réparation du Presbytère par Raymond Contier charpentier à St Martin Lalande, pour la somme de 252.20 Fr
1835 : l'indemnité "de jardin" au prêtre qui est de 60F est supprimée "voyant qu'il a un jardin potager de grande conséquence ou il tient un jardinier"
1835 : réparations aux extérieurs de l'église
1835 : réparations urgents à la maison du Presbytère en état de dépérissement
1878 : achat d'un local pour en faire le Presbytère
1878 : dans l'église, la Chapelle St Roch nécessite des réparations urgentes, en hiver le carrelage est toujours inondé et tout ce qu'elle contient se détériore; on financera les travaux par la vente de concessions dans le cimetière
1878 : entretien de la toiture de l'église
1880 : Réparation du bûcher et de la grange du Presbytère pour la somme de 1000 Francs "2 murs de la remise, ceux du couchant et du Nord, menacent de s'effondrer", une aide est demandée au Conseil Général
1885 : le curé consent à céder le bucher du presbytère pour l'établissement d'un réservoir d'eau moyennant une concession d'eau
1886 : l'Orphéonde St Martin Lalande joue lors du pèlerinage diocésain de Lourdes, en 1887 il joue à Prouilhe pour fêter le 1er anniversaire de la 1ère pierre posée
1886 ; agrandissement du bucher du Presbytère en supprimant la volière attenante
1888 : il est urgent de clôturer le cimetière à la merci d'animaux de toutes espèces
1889 : on modifie le tracé prévu pour la construction du mur du cimetière, on a décidé de faire un mur plus haut, or il faut creuser des fondations plus importantes touchant des tombes plus ou moins anciennes et violer des sépultures. la mise à jour de ces sépultures impose de revoir les plans, le mur sera donc construit au bas du talus. le devis de M Antoine Ricard est retenu
1889 : porche et toiture de l'église ont besoin de réparations
1890 : la commission départementale attribue 100Frs pour réparation à faire à l'église
1896 : réparations urgentes au clocher
1900 : Réparations au presbytère
1907 : suite à laLoi du 2/01/1097 sur la séparation de l’église et de l’Etat, la commune peut disposer à son gré du presbytère et de ses dépendances ; cet immeuble est contigu à l’école des garçons qui n’a ni WC, ni cour, ni préau. Une partie des dépendances situées au levant et la moitié du jardin seront donc prises sur le presbytère, la maison sera proposée à la location pour 100Frs au desservant de la paroisse, réparations et impositions resteront à charge de la commune, une allocation est quand même donnée pour le payer du binage qu’il effectue dans le jardin
1907 : souscription d'une assurance incendie et foudre pour le clocher, ainsi que pour le mobilier et objets de culte
1909 : le nouveau curé M. Grieuret demande la location du presbytère avec jardin et dépendances, un bail de 3 ans est signé
1912 : le bail de location du presbytère est renouvelé
1919 : devis pour l'achat d'un corbillard établi par Jean Ajac de Pexiora : 3150 Francs
1920 : le curé de la commune, l'abbé Estève, demande par lettre du 13 février l'autorisation de faire construire une chapelle avec ses propres deniers et sous sa responsabilité, dans l'église de la paroisse : autorisation accordée ; en 1921, l'abbé se rétracte et ne souhaite plus donner de ses deniers, le conseil annule donc sa décision
1920 : augmentation des tarifs des concessions dans le cimetière "considérant que la faculté de posséder une concession constitue un privilège des classes riches et aisées"
1921 : suite à la loi de 1920, plusieurs familles ont demandé le transfert des -restes- de ceux leurs membres morts au champ d'honneur et ce, au frais de l'Etat comme prévu par cette loi. Il y aura retour de 4 corps, l'Etat ne prend pas en charge la sépulture, la commune décide de leur donner gratuitement une concession perpétuelle à titre "d'hommage suprême à ceux qui ont donné leur vie"
1923 :autorisation donnée à Mme Marty veuve Codderens pour ériger une chapelle à ses frias dans l'église, sous le vocable "Sacré Coeur"
1925 :début d'incendie dans une sacristie de l'église le 25 février. Sinistre peu important, la compagnie d'assurances verse la somme de 198Francs
1925 : Le fossoyeur est payé en fonction du nombre de fosses, une indemnité complémentaire lui est versée car il n’y a eu que 3 décès dans la commune
1941 : réparation du mur nord du cimetière qui menaçait ruines et que pour des raisons de salubrité et de convenances il devait être réparé. La somme inscrite au budget pour "Cloture et entretien du cimetière" qui est de 100 Francs est insuffisante, supplément de crédit : 5000 Francs
1943 : le curé de la paroisse, Jean François Uthéza, demande une indemnité pour gardiennage del'église et des objets de culte. Les prêtres des communes voisines en bénéficient : 1000 Francs annuels accordés
1944 : le cantonnier demande une indemnité pour creusement des fosses dans le cimetière "il fait un travail spécial qui mérite indemnité" : accordée
1945 : le curé de Pexiora qui assure l'intérim à St Martin Lalande demande l'autorisation d'utiliser le presbytère pour logement. Jusqu'à présent les curés ont eu gratuitement le logement du Presbytère ; beaucoup de réparations sont à effectuer, ce bâtiment doit être assuré contre l'incendie. Le Conseil décide de louer le Presbytère à l'écclésistique qui l'occupe afin de récupérer les frais occasionnés. Un bail de location sera signé à l'abbé Tardieu pour 9 ans. (sauf résiliation anticipée pour cause de construction de groupe scolaire englobant les batiments de l'ancien presbytère). en 1950 : Cette proposition n'est pas approuvée par le Préfet, l'abbé Tardieu est d'accord pour dénoncer le bail de location et le résilier, le bail de location est donc annulé
1947 : augmentation des tarifs des concessions dans le cimetière, inchangées depuis 1920
1949 : l'abbé Tardieu, assurant l'interim à St Martin Lalande, demande une indemnité degardiennage de l'église. D'autre part, la loi du 1er sept 48 doit être appliquée sur le loyer des presbytères, ce qui entraine une augmentation de la part de la commune. Considérant que cette loi risque des complications parerassières, on décide que la pompe à incendie sera logée dans les dépendances du presbytère, que le presbytère sera loué gratuitement en contre partie, il n'y aura aucune indemnité de gardiennage d'église
1950 : projet de pose de grille entre les ancoules de l'église
1950 : demande écrite du curé: le conseil décide d'offrir 6 bancs our l'église,qui s'ajouteront à ceux commandés par le curé
1950 : projet de pose d'une grille entre les ancoules de l'église
1950 : l'abbé Tardieu à l'intention de faire établir des bornes à l'église au moyen d'une souscription publique et d'une subvention de la mairie : le projet est renvoyé à l'année suivante
1950 : réparation urgentes à faire au Presbytère ; considérant le mauvais état d'entretien des leiux et leur désordre, une lettre est envoyée à Monsieur le Curé pour lui demander de veiller à un entretien régulier et normal, évitant une dégradation prématurée du local
1951 : le conseil municipal décide de ne pas employer de désherbant pour les allées du cimetière, cela risquant de tuer les arbres. Les allées continueront d'être entretenues par le garde et le cantonnier
1951 : le curé demande d'autres bancs pour l'église, en 1952, le curé de Pexiora desservant la commune , suite à une lettre de la mairie l'informant de réduire le nombre de bancs demandés à 32 entame une discussion ; après délibérations 36 bancs sont accordés à condition qu'il laisse une place suffisante en cas de sinistre, entre la dernière rangée et la porte d'entrée
1952 : le curé invite le conseil municipal au complet, à assister à la messe du 11 novembre : le conseil n'assistera pas (comme auparavant) à la messe en groupe constitué. Il déposera les 2 gerbes au monument et cimetière comme prévu
1952 : on prévoit les aménagements des espaces compris entre les contreforts de l'église
1952 : le curé a demandé l'aménagemnt d'un garage dans le Presbytère, certains conseillers font remarquer qu'il faudra alors faire de même à chacun des instituteurs : reporté lorsque les conditions budgétaires seront plus favorables (en 1954)
1952 : l'humidité dégrade les murs de l'église, il y a lieu d'y remédier en assainissant le terrain entourant l'église, réviser les gouttières, placer un auvent devant la porte du clocher, goudronner le terrain autour de l'église, placer des caniveaux le long des murs, rézparer les dégradations du porche (lattes et crépis). Molinier Joseph signale qu'il existe sans doute des eaux d'infiltration souterraines qu'on ne pourra pas guérir. La toiture de l'église sera remaniée et le porche réparé, la partie du pignon de l'église au dessus du toit de la forge de M Hugonnet a été recrépi pour éviter les infiltrations dégradant le porche
1952 : réparation du pont mobile pour le passage du corbillard à l'église, qui était en mauvais état
1953 : le curé désire faire répare les vitraux cassés de l'église ; on demande au curé de présenter un devis avant de se prononcer. Le curé a fait réparer les vitraux avant l'accord du conseil qui déplore cette façon d'agir. La factur sera payée sur les indemnités du maire et adjoint qu'ils mettent à la disposition de la commune
1953 : révision de la toiture de l'église, scellement des tuiles au mortier pour qu'elles ne glissent plus et éviter les grosses gouttières actuelles
1953 : le curé demande la réfection des marches de l'autel suite à la prochaine visite de l'Evêque : le conseil reporte faute de crédit
1954 : réparation au presbytère : 63 000 F
1954 : l'evêque de Carcassonne doit prochainement venir (en mai), le conseil municipal décide de le recevoir à la mairie ou une allocution de bienvenue sera prononcée par le maire. La municipalité a été invitée à le recevoir sous le porche de l'église (dans une correspondance entre l'evêché et la mairie). La discussion qui s'en suit est animée ; le conseil se déclare contre. On examine alors la question sous l'angle des raports avec la partie de la population fréquentant l'église et compet tenu de ce qui s'est passé dans les communes voisines (???), même s'ils sont contre, on décide qu'une délégation présidée par le maire ira recevoir l'evêque sous le porche de l'église. Le curé a annoncé en chaire, avant que le conseil ait pris sa décision, que la municipalité recevrait Monseigneur l'Evêque sous le porche de l'église ; un banc a été réservé dans l'église pour le conseil, le maire trouverait à ses côtés, sous le porche, un délégué de la JDF (Jeunesse de France). Le maire expose qu'il voit là 3 pièges qui , quelle que soit la position du conseil, peuvent être retournés contre lui d'un côté ou de l'autre . Il indique aussi qu'il ne veut pas s'exposer à voir l'Evêque saluer le délégué de la JDF avant lui, ce qui risque de se produire. Dans ces conditions, il indique qu'il se refuse à recevoir l'Evêque et dit aux conseillers qu'ils sont libres, aquant à eux, de le recevoir ou non. Le conseil délibère et décide de suivre son maire dans sa position et de ne pas recevoir l'Evêque puisque ce dernier n'a pas accepté de venir à la mairie ainsi qu'il en avait reçue l'invitation en son temps.
1955 : suivant la circulaire de aout 54, de Monsieur le Ministre de l'Intérieur, le conseil créée un service de gardiennage de l'église dans la commune, la rétribution annuelle sera de 4000F
1955 : le conseil décide de faire effecurer les réparations nécessaires au clocher afin que la pluie ne s'infiltre et ne vienne dégrader l'intérieur, notamment les fonts baptismaux
2014 : trous béants dans le plafond de l'église
2015 : mise en place d'un échafaudage qui a permis au peintre d'examiner les peintures du plafond de l'église, les peintures ont été datées de 1862 et portent une signature, celle des frères Pedoya. elles sont en bon état mais encrassées, l'association patrimoine participe par ses dons 2016 : accord des bâtiments de France pour lancer la souscription Fondation Patrimoine en faveur de la restauration de l'église et en particulier la restauration des fresques
2016 : rénovation du plafond de l'église, les armatures des voutes ont du être fixées et consolider pour sécuriser le faux plafond dont les décors et peintures datent, pour certains, de1862 ; suite aux travaux de 2010 le plafond a été endommagé et nécessite des travaux de reprise de plâtre et rénovation de peinture. l'église est fermée
2016 : réfection plâtre et peinture du plafond et rénovation des peintures de l'arc triomphant et de l'Abside de l'église, restauration des peinture Madame Brida
2017 : le 5 février, réouverture officielle de l'église avec messe célébrée par Monseigneur
2017 : la cloison séparant l'escalier montant de la chaire de l'église s'est écroulée, fragilisant la structure de la voûte de l'escalier, ECB de Castelnaudary fera les travaux
2017 : mise aux normes du réseau électrique mises aux normes automatisation des cloches et installation de chauffage dans l'église
2018 : réfection de la fresque au dessus du porche, restauration réalisée par Madame brida
2018 : grosse panne de sonorisation de l'église engendrant le remplacement, un bénévole a effectué la réparation, cependant il serait nécessaire de remplacer les micros par des micros "tour d'oreille" ou sans fil, ce remplacement est repoussé
2022 : les allées du nouveau cimetière ont été goudronnées
concernant Notre Dame de Bassens ou la liste des abbés,
première question que je me pose avant que de commencer mon article, mais quelle est donc la différence entre un prêtre, un curé, un abbé, si toutefois il y en a une et oui il y en a, les voic...
aujourd'hui : 13 juin 2011, Lundi de Pentecôte pélerinage à Notre Dame de Bassens à St Martin Lalande histoire : 1156 : 1er document écrit. En ce lieu s'élevait alors un prieuré et une chape...
Dans mon poème " Chevalier clocher et sa compagne l'église " de 2017 Je vous disais " Mon cœur rythme vos pensées et vos jours heureux Il résonne et vous dit bonjour mesdames et messieurs Je r...
St Martin Lalande aurait bien pu s'appeler St Martin les 2 églises c'est en 1197 qu'apparait dans les archives : Sanctus Martinus de la Landa est alors rattachée à la collégiale St Michel de ...
peinture (aquarelle, acrylique, encres....), bois tourné, déco, récup, le blog de nos passions mais aussi histoires, anecdotes, patrimoine de notre village du Lauraqais : Saint Martin Lalande -
Hébergé par Overblog